Auteur: Chancy Victorin
Le mouvement Rap Créole fait ses balbutiements vers la fin des années 80 en Haïti avec des artistes comme Master-Gi, Supa Deno au sein du collectif baptisé Haïti Rap and Ragga.
Le mouvement connaîtra son apogée tout au cours de la décennie qui suivit avec King posse, ORS (original rap staff), Masters… dont la composition musicale est fort redevable au reggae qui se développe en parallèle.
Au cours des années 2000, maturité oblige, à l’image du succès que connaissent les groupes Barikad Crew et Rockfam, le mouvement fait des milliers d’inconditionnels tant chez les jeunes que dans des secteurs jusque- là réticents.
Si la montée en vitesse du rap créole fait craindre à plus d’un l’éclipse du compas, force est de reconnaître que les stéréotypes dont on l’affuble et son manque de structuration risquent peut-être de ralentir sa course. Qu’à cela ne tienne nous lui souhaitons le plus grand et le plus durable succès!
Le mouvement connaîtra son apogée tout au cours de la décennie qui suivit avec King posse, ORS (original rap staff), Masters… dont la composition musicale est fort redevable au reggae qui se développe en parallèle.
Au cours des années 2000, maturité oblige, à l’image du succès que connaissent les groupes Barikad Crew et Rockfam, le mouvement fait des milliers d’inconditionnels tant chez les jeunes que dans des secteurs jusque- là réticents.
Si la montée en vitesse du rap créole fait craindre à plus d’un l’éclipse du compas, force est de reconnaître que les stéréotypes dont on l’affuble et son manque de structuration risquent peut-être de ralentir sa course. Qu’à cela ne tienne nous lui souhaitons le plus grand et le plus durable succès!
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